Il faut déjà réussir à prononcer son nom au téléphone. Lui écrire ensuite, sans se tromper sur l’emplacement des « h ». Puis espérer qu’il veuille bien vous recevoir. Farhad Khosrokhavar est un sociologue rare : il rejette autant la lumière que sa spécialité l’attire. Sa science est celle des phénomènes de radicalisation, le « martyrisme ».
Mais à l’heure où travailler sur le djihad place rapidement sous le feu des projecteurs, il reste un expert en « islam radical » dédaigneux des médias. Un quasi rétif à l’exercice qui, confesse-t-il,tire bien plus de « narcissisme » dans ses écritures, à son bureau de la Fondation Maison des sciences de l’homme, à Paris, où il dirige l’Observatoire des radicalisations.
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L’article sur Le Monde